La Bourse de Paris est restée stable jeudi dernier (-0,10 %). La proclamation des chiffres du rapport sur l’emploi américain est attendue dans le calme, d’ici là, les taux d’intérêt obligatoires sont encore très bas. L’indice vedette CAC 40 a fléchi 7,47 points à 7.428, 52 points. Mercredi 6 novembre, il avait conclu une hausse de 0,66% à 7.435,99 points, son plus haut niveau de clôture, depuis la fin du mois de juillet.
Le taux d’intérêt de l’emprunt français à 10 ans a connu une chute et se trouve à un plus bas depuis le mois d’avril, à 2,73%. D’après Mabouk Chetouane, responsable de la stratégie des marchés chez Natixis IM Solutions, en attendant le rapport mensuel de l’emploi américain de novembre, les investisseurs retiennent leur souffle, vendredi dernier, on a découvert qui était le centre du développement des marchés dans les prochaines semaines.
Dans les chiffres sur le marché de travail, ils vont passer à l’évaluation pour découvrir si le recul de l’économie américaine est considérable pour transformer la Réserve fédérale de braquet ou si l’économie tient encore pour envisager des régressions de taux d’intérêt directeurs.
Pour réussir à contrôler l’inflation, la banque centrale américaine a augmenté ses taux directeurs depuis le début de l’année 2022. En ce moment, les chiffres affichent un ralentissement de l’inflation et les marchés prévoient plusieurs réductions des taux de l’institution monétaire en 2024.
Selon Mabrouk Chetouane, la réaction du marché obligatoire, après les derniers chiffres d’inflation américaine est un abus. Il faut toujours rester vigilant sur la dynamique des marchés.
Le géant pharmaceutique français Sanofi mise sur l’immunologie (qui assure le traitement des maladies du système immunitaire) et sur la recherche ainsi que sur le développement pour garantir un développement durable, au moins jusqu’en 2023. Il souhaite restaurer la confiance des investisseurs.
L’entreprise vise à atteindre plus de 10 milliards d’euros de chiffre d’affaires annuel, d’ici à 2030. Suite à la déclaration des plans stratégiques de l’entreprise en octobre, l’action a connu un recul de près de 20%. Ces déclarations lui ont coûté une chute de 1,20% à 85,10 euros.