En pleine période de crise, nombreux sont ceux qui souhaitent se limiter uniquement aux essentiels, notamment aux priorités. Ils ont ainsi tendance à considérer certaines activités comme superflues, y compris la bourse.
Le cas des Québécois
La plupart des Québécois optent pour une pause de leur épargne retraite. Face à une perte d’emploi et un recours de soutien financier de la part du gouvernement, il faut passer à l’étape de la retraite. Certaines personnes ont encore la chance de garder leur poste, sans faire face aux affres du problème de chômage. Quelles réactions adopteront-ils face aux marchés boursiers qui ont du mal à affronter une forte tempête ?
Ne pas cesser l’investissement
Se lancer dans l’investissement boursier signifie participer à l’achat d’une part d’entreprises. Les actions varient en fonction de nombreux critères. Elles peuvent être onéreuses ou moins chères. L’investissement d’une somme raisonnable nous conduit sans doute à un prix moyen intéressant.
Le mieux est donc de continuer d’investir dans un monde qui vous est familier. Ces investissements vous permettront à coup sûr d’augmenter vos revenus sur le long terme.
Investissement dans les creux et les sommets : la meilleure solution
Les placements qui s’effectuent durant les périodes pendant lesquelles les marchés boursiers atteignent leurs sommets ne sont généralement pas très porteurs. Pourtant, dans certains cas, ils deviennent plus lucratifs quand les marchés touchent leur plus bas niveau. À tout moment, les investisseurs peuvent ainsi s’attendre à des gains.
Selon les historiens de la Bourse de Canada, septembre 2000 et juin 2008 étaient les plus pires moments de l’histoire de l’investissement boursier. Le premier évoquait la période précédent l’éclatement de la bulle des technos. Tandis que le deuxième correspond à la crise financière à la suite de l’atteinte du sommet boursier.