Le lundi 07 novembre, la Bourse de Hong Kong a connu une hausse à environ 3,5%, amplifiant le rebondissement qui a commencé la semaine dernière après les suppositions déniée par les autorités pensant que la Chine peut revenir sur sa politique de « zéro épidémie ». L’indice Hang Seng progressait en fin de matinée de 3,48%, suite à une montée de 5% lors des transactions de l’ultime séance du vendredi.
À Shanghai, l’indice composite a bondi de 0,5%, alors que l’espace Shenzhen a progressé de 0,6%. D’après Raymond Yeung et Zhaopeng Xing de ANZ Research, le marché financier s’est engoué, la semaine précédente, à l’occasion des ragots sur la réouverture de la Chine.
Cependant, ce samedi, le gouvernement chinois avait annoncé, qu’il resterait impérissable à son plan actuel, et ce, d’envisager des dispositions de confinement rigoureux ainsi que des règlements catégoriques de quarantaine et de dépistage, pour les foyers de cas limité.
Raymond Yeung et Zhaopeng Xing ont déclaré que ces rumeurs à propos de la réouverture de la Chine ne sont pas justifiées, il se peut que le marché interprète abusivement les nouvelles informations et réduise les anciens rebondissements. Ils ont ajouté qu’il est évident que la Chine se presse de rendre l’économie dans son état normal, pourtant ses dirigeants n’accepteront pas la politique qui vise à « vivre avec le Covid ». En effet, peut-être que les nouveaux vaccins développés régionalement pourront bouleverser la donne.
La Chine est la dernière grande économie à travers le monde qui reste fidèle à une stratégie convoitant à anéantir les foyers épidémiques de Covid-19. Depuis leur éruption, et ce, en dépit des troubles importants pour les entreprises et pour les chaînes d’approvisionnement internationales. Les espoirs désenchantés d’une réouverture de la Chine ont causé la baisse des coûts du pétrole qui avaient bondi vendredi, provoqué par un désir de changement à l’égard de la Chine, propice à une augmentation de la demande.